Le vice-Président de la République a signé le livre des condoléances ouvert à l’ambassade de France suite au décès du Président Jacques CHIRAC

Le vice-Président de la République a signé le livre des condoléances ouvert à l’ambassade de France suite au décès du Président Jacques CHIRAC

Le vice-Président de la République a signé le livre des condoléances ouvert à l’ambassade de France suite au décès du Président Jacques CHIRAC

Le vice-Président de la République, S.E. Daniel Kablan DUNCAN, s’est rendu le jeudi 02 octobre 2012, à l’ambassade de France, sis au Plateau, pour signer, au nom du Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, le livre des condoléances ouvert à la suite du décès du Président Jacques CHIRAC, le 26 septembre, à l’âge de 86 ans.

Le vice-Président DUNCAN a été accueilli par S.E. Gilles HUBERSON, ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, à son arrivée dans les locaux de l’ambassade où l’attendaient d’autres personnalités ivoiriennes au premier rang desquelles le ministre des Affaires étrangères, M. Marcel AMON-TANOH, le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, M. Ally COULIBALY, et le Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, M. Daouda DIABATE.

Le vice-Président de la République a été ensuite conduit à la table de signature dressée pour les circonstances devant une photo portrait de l’illustre disparu.

Dans les tout derniers mots du vice-Président de la République, avant d’apposer sa signature, on pouvait lire ce qui suit : « Je voudrais donc exprimer, en cette douloureuse circonstance, au nom de S.E.M Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire, et du Gouvernement ivoirien, nos condoléances les plus attristées et notre profonde compassion au Président de la République, au Gouvernement et au peuple français, de même qu’à la famille de l’illustre disparu. »

L’illustre disparu qui, comme l’a également écrit le vice-Président DUNCAN, fut « un grand ami de feu le Président Félix Houphouët-Boigny et de la Côte d’Ivoire qu’il a visitée à plusieurs reprises. »

Avec des mots emprunts d’émotion, il a estimé que par cette disparition, « la France perd un leader politique d’exception et l’Afrique l’un de ses meilleurs amis » … « un homme de devoir et d’engagement, ainsi qu’un défenseur efficace et dévoué à la cause de la paix et du climat, ainsi qu’à la cause de l’Afrique aussi bien à l’ONU que sur la scène internationale. »

Pour mémoire, il faut noter que plusieurs faits témoignent de la relation particulière de l’illustre disparu avec la Côte d’Ivoire, tels que ses mémorables visites, notamment son premier voyage à l’étranger, le 12 avril 1986, après son retour à Matignon, sa visite en février 1990 en tant que Maire de Paris et sa participation, le 7 février 1994, aux obsèques de feu le Président Félix HOUPHOUËT-BOIGNY. A cela, il convient d’ajouter sa première visite officielle à l’étranger réservée à l’Afrique, après son arrivée au pouvoir, en tant que Président de la République française ; visite dont Yamoussoukro fut la deuxième étape le 21 juillet 1995.

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