En marge du 26ème Sommet de l’Union Africaine qui se tient à Addis-Abeba, le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, s’est entretenu, successivement, le vendredi 29 Janvier 2016, avec le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les Réfugiés, M. Filipo GRANDI, le Président de la République de Djibouti, S.E.M. Ismaïl Omar GUELLEH, et le Président de la République du Faso, S.E.M. Roch Marc Christian KABORE.
Avec le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les Réfugiés, M. Filipo GRANDI, les échanges ont porté sur l’évolution positive du rapatriement des Réfugiés ivoiriens.
M. Filipo GRANDI a félicité le Chef de l’Etat et le Gouvernement pour avoir eu la volonté politique d’oeuvrer au retour de tous les exilés ivoiriens. Il a, en outre, souligné l’importance de la réintégration des Réfugiés qui rentrent dans leur pays. Le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les Réfugiés a souligné être en phase avec le Chef de l’Etat sur cette question.
Avec le Président de la République de Djibouti, S.E.M. Ismaïl Omar GUELLEH, l’entretien a porté sur le renforcement de la coopération bilatérale entre la Côte d’Ivoire et Djibouti.
Le Président de la République du Faso, S.E.M. Roch Christian Marc KABORE, qui a été reçu en fin de soirée, a fait la déclaration suivante, à l'issue de l'entretien : « Vous savez très bien que la participation à la session de l’Union africaine est toujours l’occasion pour les Chefs d’Etat de se rencontrer et d’échanger sur les voies et moyens de consolider les relations d’amitié et de fraternité qui existent entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Pour nous, nous l’avons dit et toujours répété que nous avons le devoir de faire en sorte que cette relation soit renforcée, que cet axe soit consolidé et que nous puissions faire en sorte que les événements qui ont pu se passer çà et là, que nous puissions considérer que ce sont des événements qui doivent relever du passé et que nous devons travailler à faire en sorte que véritablement nous puissions rétablir la confiance au sommet et également entre nos peuples. Les dispositions seront prises de part et d’autre pour qu’il en soit ainsi. ».
