Le vice-Président de la République, S.E.M. Daniel Kablan DUNCAN, s’est entretenu ce jeudi 1er février, au Palais de la Présidence, avec une importante délégation du groupe United Bank for Africa (UBA) conduite par son Directeur général Afrique, M. Kennedy UZOKA.
A l’issue de l’audience, M. UZOKA s’est longuement exprimé face à la presse à qui il a confié , entre autres ambitions de son groupe, qu’il reste convaincu que la filiale Côte d’Ivoire de UBA est bien partie pour se positionner comme l’une des plus performantes, sinon la plus performante d’Afrique.
Présente dans 19 pays africains ainsi qu’aux Etats-Unis, en France et en Angleterre, comme l’a révélé M. UZOKA, le Groupe UBA a retenu la Côte d’Ivoire pour y abriter, cette année, son sommet annuel, prévu du 31 janvier au 3 février. C’est dans ce cadre que lui-même, les membres du Conseil d’administration et les directeurs généraux d’une dizaine de filiales pays séjournent à Abidjan, depuis quelques jours.
En allant à la rencontre du vice-Président de la République, les dirigeants de UBA visaient, d’une part, à lui présenter le groupe, ses performances et ses perspectives de développement en Côte d’Ivoire, et, d’autre part, à être instruits au mieux sur les projets prioritaires et les besoins de financement de ce pays, afin de mieux l’accompagner sur la route de l’émergence à l’horizon 2020.
M. Kennedy UZOKA s’est attardé sur les bonnes performances économiques de la Côte Ivoire pour justifier le choix de la tenue du sommet annuel du groupe à Abidjan.
A la suite du Directeur général Afrique du groupe, la Directrice générale de UBA Côte d’Ivoire, Mme Sarata KONE, a exprimé la satisfaction de la délégation sur le contenu des échanges avec le vice-Président de la République qui, a-t-elle indiqué, s’est réjoui du choix de la banque de tenir son sommet annuel à Abidjan et de renforcer sa présence en terre ivoirienne.
Le vice-Président de la République, pour répondre aux attentes de ses hôtes du jour, a, au cours de l’audience, présenté les principaux projets de l’Etat contenus dans le Plan national de développement (PND) 2016-2020, estimé à 60 milliards de dollars américains, avec une participation attendue du secteur privé à hauteur de 62%.
Le vice-Président de la République a, en conséquence, mis l’accent sur les besoins d’investissement dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et des infrastructures routières.
